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ACCEUIL

Qui sommes-nous ?

Cabinet-conseil/Urgence citoyenne est une entreprise enregistrée mise sur pied tout récemment et qui au temps jadis (1980-2023) aura eu pignon sur rue dans la région du grand Montréal. Dont le nom de firme était à l’époque le Bureau d’interventions cliniques et communautaires (BICC Inc.). Dont la mission première aura été de servir d’incubateur, de plate-forme de lancement et de coordination de projets novateurs dans le domaine de l’intervention de proximité en sécurité urbaine. Des projets faisant appel à la mobilisation et l’implication citoyenne et l’utilisation de méthodes d’approche favorisant la réappropriation d’un certain pouvoir des citoyens sur leur environnement.

Dans la foulée de cette approche plusieurs de ces projets deviendront au fil du temps des << Success-stories>>. Les plus connus étant les projets : TANDEM MONTRÉAL, GRANDIR EN SANTÉ MENTALE EN MONTÉRÉGIE, URGENCE PSYCHOSOCIALE-JUSTICE au lendemain de l’Affaire Barnabé. Et non le moindre, le projet POLYGLOBE. Un projet de persistance scolaire, fruit d’un partenariat qui s’est concrétisé entre l’École montréalaise, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) et le Fonds Ville-Marie. Un projet qui est devenu au fil du temps le projet CLASSES AFFAIRES et tout récemment DÉFI RELÈVE MONTRÉAL.

Le motif derrière ce geste citoyen ?

Devant des drames comme ceux que le Québec vient à peine de vivre à Sainte-Rose à Laval, Amqui, dans le quartier Rosemont à Montréal et Louiseville, impliquant une policière de la Sureté du Québec morte en devoir, on ne peut pas demeurer indifférents en tant que citoyens. D’où les réactions les plus courantes des gens de se rassembler, de se recueillir, de pleurer en silence… Tantôt, en ne sachant plus trouver les mots pour le dire. Tantôt en exprimant leur rage intérieure et leur volonté de tenter de comprendre l’incompréhensible.

Mais, il y a une autre réaction comme celle d’oser défier l’absurde. L’adage voulant que l’obscurité ne doive pas être une raison de ne pas croire à la lumière. (Socrate). D’où le motif derrière ce geste citoyen… Nommément, celui d’oser défier l’absurde de façon à pouvoir laisser de son vivant en héritage à nos petits-enfants un QUÉBEC SANS VIOLENCE. Du moins celle de la violence absurde.

Enfin, si le trauma naît généralement d’un événement dramatique, en certaines occasions, il peut être aussi un tremplin. Face à la haine et à la souffrance, il y aura toujours chez certaines personnes un besoin absolu de réparation. C’est ainsi que le trauma deviendra pour elles une forme de connaissance, une expérience profondément humaine, ou encore, une occasion de solidarité, de mobilisation et d’implication citoyenne à différents niveaux. Nommément sur le plan relationnel, familial, professionnel, communautaire, voire humanitaire. Un moment de vérité sur soi et sur la condition humaine. Une occasion de retour aux priorités essentielles de la vie pendant la vie, et à un regard de la Terre avec les yeux de l’âme. Tel est le vécu de l’auteur qui est devenu au fil du temps un guerrier de la lumière au sens coelhien du terme. Une personne rassembleuse et engagée se portant non seulement à la défense des droits des gens les plus vulnérables de la société, mais aussi à leurs besoins de protection et de sécurité.

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